Pourquoi, qui, comment ?

Ça parle de quoi ici ?

Ça parle d’animaux, de la cause animale, de véganisme, de spécisme, de pourquoi c’est pas bien d’écarteler les marcassins et de frotter du papier de verre sur des yeux de chiots. Ou de manger un steak, même si c’est une pratique nettement plus rare. En France, ces thématiques sont encore assez méconnues du grand public, et je voulais apporter ma brique de lait de soja à l’édifice.

Ça veut dire quoi, [insérez mot perturbant] ?

Végétarien = ne mange ni viande ni poisson.

Végétalien = ne mange aucun produit d’origine animale (ni viande, ni poisson, ni lait, ni miel, ni œufs…).

Vegan = ne consomme aucun service ou produit (aliment ou pas) issu des animaux ou de leur exploitation. Quant à la question de savoir si c’est un mode de vie, un mouvement, une philosophie, une théorie politique… Les 42 mon capitaine.

Chaise = siège à dossier, sans bras. Hein ?

Pourquoi ce nom ?

« L’inspiration, c’est comme les smartphones. C’est bien utile, mais on peut très bien s’en passer » – Isaac Newton, 1714.

Non mais sérieusement ?

Parce que je trouvais ça fun. C’est dur de trouver un nom pas trop cul-cul, retenab… retiend… que les gens retiennent, et un peu rigolo. Un jour, je ferai une mascotte et un logo. Peut-être. Quand j’aurai du talent. OUINNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN !

Qui es-tu ?

Ha, on se tutoie ? Cool. Je suis plein de choses, mais ce qui peut être pertinent ici est que je m’intéresse à la cause animale depuis longtemps maintenant, que je suis végétarien depuis une dizaine d’années, végétalien depuis sensiblement moins, et que je m’oppose de manière générale à toute forme d’exploitation des animaux, humains ou non-humains. Y’a du boulot. En tout cas, une chose qui me navre est que les mouvements « végé » se tapent trop souvent dessus pour savoir qui a raison, ce qui est à mon avis contre-productif. J’essaye d’être un vegan pragmatique.

Vegan, végan, végane… ?

On fait un peu comme on veut. J’adopte le plus souvent la graphie anglaise sans accent, vegan, que je n’accorde pas, parce que c’est ce que je préfère esthétiquement. Si, c’est une raison valable.